Réussite architecturale, prouesse technique, mixité sociale et générationnelle vertueuses : trois ans après la pose de la première pierre, la municipalité comme les aménageurs tirent déjà les premiers bénéfices de la Zac Paul Joly, tant sur le plan de l’image que celui de la démographie. Les travaux de la 7e et dernière tranche, avec la création d’une résidence senior et d’une maison médicale, doivent démarrer bientôt et s’achever fin 2016.
Zac Paul Joly : chronique d'une réussite
Réussite architecturale, prouesse technique, mixité sociale et générationnelle vertueuses : trois ans après la pose de la première pierre, la municipalité comme les aménageurs tirent déjà les premiers bénéfices de la Zac Paul Joly, tant sur le plan de l'image que celui de la démographie. Les travaux de la 7e et dernière tranche, avec la création d'une résidence senior et d'une maison médicale, doivent démarrer bientôt et s'achever fin 2016.
Lecture : 3 min
Partager l’article
« A chaque opération, on repart sur une feuille blanche ». A Marly, la copie fait 6,3 hectares. Une pointe vierge située entre la rue de Metz et la RD113 à redessiner, repenser… inventer. « Nous allions bouleverser ce quartier », rappelle Estelle Bach présidente de l’antenne lorraine du SNAL et directrice de la Sarest, nommé aménageur avec Nexity en 2011, en visite sur place. Quatre ans après, on peut résolument parler de métamorphose. Il ne reste rien des champs et serres des maraîchers ni des anciens terrains de football du sporting club de Marly que le souvenir d’un synthétique brûlant et un vestiaire laissé intact. Pas de nostalgie non plus : la Zac Paul Joly est entrée dans le paysage comme une évidence.