Richard Meny, disparition d’une figure du Toulois

Un choc. La nouvelle laisse tout le monde abasourdi. Amis, clients- souvent c’étaient les mêmes- ont du mal à croire qu’ils ne verront plus Richard Meny disparu brutalement le 31 juillet.

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Un choc. La nouvelle laisse tout le monde abasourdi. Amis, clients- souvent c’étaient les mêmes- ont du mal à croire qu’ils ne verront plus Richard Meny disparu brutalement le 31 juillet.

Une vraie tristesse les a gagnés. Au-delà des mots de convenance, ils se sentent désemparés et partagent l‘infinie détresse de la famille de Richard Meny : son épouse Monique, ses filles Séverine et Sandra ses gendres Sébastien Loeb le champion du monde des rallyes et Dominique Rebout, son frère Reynier avec lequel il dirigeait plusieurs garages et concessions : Peugeot et Citroën à Toul le fief de Richard, Fiat, Lancia, Alfa Romeo, Opel à Laxou et Citroën à Neufchâteau
Richard Meny adorait son métier. Affable, compétent, doté d’un sens commercial inné il avait le respect de ses collaborateurs et celui de la clientèle avec laquelle il avait noué des liens de fidélité proches  de l’affectif et de confiance absolue. Passionné de sport automobile, premier supporteur de Sébastien Loeb qu’il accompagnait dès que possible sur le théâtre de ses exploits, il fréquentait assidument les tribunes de Gentilly où il trouvait un dérivatif. Partenaire du SLUC Nancy Basket et de l’AS Nancy Lorraine, il était attentif à toutes les initiatives qu’il n’hésitait pas à soutenir sans rien demander en retour que la sincérité des engagements.
Surtout c’était un homme droit, un homme vrai, un être modeste et humainement riche dont la disparition laisse un grand vide.

Cet article est paru le 12 août dans l’hebdomadaire La Semaine n° 281 à Metz. Pour lire le journal dès sa parution, abonnez-vous !