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Jeux Olympiques : les sites d’ArcelorMittal en Moselle ont participé à la fabrication du « Cœur de la Torche »

Les sites du sidérurgiste ArcelorMittal de Florange et de Woippy n’ont pas uniquement participé à la fabrication de la Torche olympique dans le cadre de Paris 2024.

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Par La rédaction de La Semaine
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© Mathieu Lehanneur/Arcelor Mittal
Les sites du sidérurgiste ArcelorMittal de Florange et de Woippy n’ont pas uniquement participé à la fabrication de la Torche olympique dans le cadre de Paris 2024. Alors que les esprits sont tournés sur l’arrivée de la Flamme à Marseille le 8 mai, le design du Chaudron des Relais de la Flamme Olympique et Paralympique a été révélé lundi 6 mai par le comité d’organisation des Jeux olympiques et paralympiques de Paris 2024 (Cojo). Tout comme le design du « Cœur de la Torche », l’anneau souvenir qui sera remis aux 10 000 porteurs de la Flamme Olympique et aux 1 000 porteurs de la Flamme Paralympique. Les sites mosellans de Florange et de Woippy du sidérurgiste ArcelorMittal ont participé à la fabrication de ces 11 000 pièces. L’acier a été coulé sur le site d’ArcelorMittal de Dunkerque (59), avant d’être laminé sur celui de Florange. C’est ensuite l’usine de Woippy qui a procédé à la découpe au laser, avant que les pièces ne soient finalisées par des prestataires en France (polissage miroir, gravure, revêtement). Le « Cœur de la Torche » pèse 65 grammes, fait 10 cm de diamètre et 2 mm d’épaisseur.