Culture

SPONSORISÉ | Un projet - Un élu Avec la Sodevam

Le Musée les Mineurs, situé à Petite-Rosselle est le témoin de

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Par La Semaine Communication
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Le Musée les Mineurs, situé à Petite-Rosselle est le témoin de l’âge d’or de toute une région. Pour pérenniser l’initiative et accompagner le développement, le Syndicat du Musée a fait appel à la Sodevam. Illustration du propos avec le restaurant Atelier 1904. C’était un des projets qui sommeillait depuis bien longtemps dans les cartons du Syndicat Mixte du Musée de la Mine. Pouvoir offrir une solution de restauration aux visiteurs du Musée et notamment à la clientèle des autocaristes et à de nombreux groupes demandeurs. Un endroit où il est possible de refaire le monde autour d’un bon repas et de vins raffinés. Aujourd’hui, c’est chose faite. Tel un phénix qui renaît de ses cendres, le restaurant a trouvé comme écrin le plus ancien bâtiment du site, un atelier de chaudronnerie datant de 1904. « Dans la démarche de concrétisation de ce projet, la Sodevam s’est présentée comme un partenaire incontournable dans l’opération », indique Robert Ahr, président du Syndicat Mixte depuis septembre 2020. « C’est notamment elle qui a été moteur dans le choix du bâtiment W3, l’ex atelier de chaudronnerie », poursuit l’élu. En effet, la comparaison des différentes hypothèses d’implantation a amené à retenir ce bâtiment, à la fois pour son positionnement, mais aussi pour ses dimensions en adéquation avec l’échelle du projet. Suite à un appel d’offres, la gestion de ce restaurant a ainsi été confiée, via une délégation de service public, à l’association d’Action Sociale du Bassin houiller. Le personnel est ainsi composé de professionnels (le chef, le sous-chef, les responsables de salle) mais également de personnes en réinsertion ce qui fait l’originalité de cette exploitation.

« LA SODEVAM S’EST PRÉSENTÉE COMME UN PARTENAIRE INCONTOURNABLE. »

Le chantier, qui a débuté pendant le confinement, s’est achevé à la fin de l’année 2021. Il ne fut pas de tout repos. En raison du contexte contraint. « Il y a eu la crise sanitaire. Puis nous avons également dû faire face aux exigences des Bâtiments de France, le site étant classé. » Par exemple, les encadrements des ouvertures en grés des Vosges du restaurant ont été restaurées en pierres massives et non en simple placage. « Il a fallu faire appel à un spécialiste situé dans le Pays de Bitche. D’ailleurs, toutes les entreprises qui sont intervenues, sont issues de la région. » La Sodevam, agissant en qualité de maître d’ouvrage délégué, a permis au Syndicat Mixte d’arriver à ses fins. « Concernant le montage financier, nous avons obtenu une enveloppe de subventions de 55 % du montant total de 2 millions d’euros. Avec notamment 265 000 € de la Région Grand Est, 220 000 € du Département de la Moselle, 190 000 € de l’État et 300 000 € de la Fondation Daniel Deutsch hébergée par la Fondation de France ».

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« LE RESTAURANT EST VICTIME DE SON SUCCES. »

Les premiers convives ont été reçus le jour de la Saint-Valentin 2022. Inauguré 4 mois plus tard, le restaurant a depuis trouvé son rythme de croisière. Fort d’une capacité d’accueil d’une centaine de places, le restaurant est victime de son succès. Outre les mets confectionnés par un cuisinier de talent, le public est sans doute très sensible au cadre magnifique, rappelant l’ambiance d’antan. Le mobilier est cossu sans être clinquant et les concessions à la modernité n’ont pas entamé le cachet propre à l’Atelier. Le restaurant se prolonge aussi à l’extérieur avec une terrasse très chaleureuse, aménagée en bois. Histoire de permettre aux visiteurs de poursuivre un peu plus la visite du Musée.