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Maizières-lès-Metz : ArcelorMittal a accueilli une étape privée du relais de la flamme olympique

760 collaborateurs du site d’ArcelorMittal de Maizières-lès-Metz ont pu participer à une étape privée du relais de la flamme ce jeudi 27 juin. Deux salariés du groupe ont porté la Torche entre 14 h 57 et 15 h 07 devant des collaborateurs conquis et Éric Niedziela, le président d’ArcelorMittal France.

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Par La rédaction de La Semaine
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760 collaborateurs du site d’ArcelorMittal de Maizières-lès-Metz ont pu participer à une étape privée du relais de la flamme ce jeudi 27 juin. Deux salariés du groupe ont porté la Torche entre 14 h 57 et 15 h 07 devant des collaborateurs conquis et Éric Niedziela, le président d’ArcelorMittal France. Leurs visages ne trompent pas. Julien Pinck, technicien chez ArcelorMittal à Florange et Miranda Dhuitte, data scientist pour le groupe à Maizières-lès-Metz, ont conscience du moment inoubliable auquel ils ont la chance de goûter. Les deux salariés du géant de la sidérurgie luxembourgeois ont été sélectionnés pour porter la flamme ce jeudi 27 juin jeudi 27 juin lors de l’étape privée du relais de la flamme organisé sur le site de Maizières-lès-Metz dédié à la Recherche et Développement (R & D) du géant de la sidérurgie luxembourgeois. Elle a traversé et illuminé l’espace entre 14 h 57 et 15 h 07. Les 760 salariés de l’entité, plus grand centre R & D du groupe au monde, ont pu participer à l’événement qui a commencé dès le début de l’après-midi. Les collaborateurs du groupe ont pu danser et faire des photos avec les mascottes des JO dans une ambiance festive et profiter d’animations autour du sport. « C’est l’aboutissement de deux ans de travail pour ArcelorMittal. Notre groupe est impliqué en tant que sponsor et partenaire de ces Jeux olympiques et paralympiques. À Maizières-lès-Metz, nos ateliers ont beaucoup travaillé sur la R & D de la Torche », rappelle Jean-Luc Thirion, président d’ArcelorMittal Maizières-lès-Metz. Les usines mosellanes de l’industriel ont toutes participé activement à la fabrication des 2 000 Torches des JO. C’est à Florange que l’acier a été laminé, et à Woippy qu’il a été découpé. À Maizières-lès-Metz, les revêtements ont été testés. Le résultat est une prouesse technologique puisque la flamme part de l’intérieur de la Torche, créant au passage un véritable four qui grimpe à 700 degrés. Le défi majeur : faire en sorte que la Torche ne chauffe pas, ni ne change de couleur à cause de la chaleur. « Nous avons démontré tout notre savoir-faire en partant de rien. Au début on ne savait même pas qui serait le designer. À la fin, nous avons conçu cet objet iconique et nous avons montré toute la capacité des usines françaises à travailler à partir d’acier décarboné », se fend Éric Niedziela, président d’ArcelorMittal France. ArcelorMittal France a aussi participé à la production du Cœur de la Torche remis aux 11 000 porteurs, aux agitos, aux anneaux accrochés sur la Tour Eiffel ou encore aux chaudrons. À Maizières-lès-Metz, l’événement s’est achevé vers 16 heures. « J’ai éprouvé une véritable fierté au moment du passage. Une véritable émotion à laquelle je ne m’attendais pas. Quelques collègues m’avaient prévenu que les sentiments étaient décuplés lorsque l’on vivait l’instant. Je n’y croyais pas tellement. Mais c’est effectivement ce qui se passe. La symbolique des Jeux, c’est quelque chose d’incroyable », lance Julien Freyburger, maire de Maizières-lès-Metz et président de la communauté de communes Rives de Moselle.