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Sponsorisé | Un projet - Un élu Avec la Sodevam

En quinze ans, le secteur Charcot a complètement changé la physionomie de Woippy. Ce lieu de centralité caractérisé par la diversification de son habitat et de ses équipements dédiés au public, est le fruit de la collaboration entre la Sodevam et la Ville de Woippy.

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Par La Semaine Communication
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En quinze ans, le secteur Charcot a complètement changé la physionomie de Woippy. Ce lieu de centralité caractérisé par la diversification de son habitat et de ses équipements dédiés au public, est le fruit de la collaboration entre la Sodevam et la Ville de Woippy. Le secteur Charcot a été l’un des projets les plus importants pour Woippy en matière de rénovation urbaine », indique d’emblée Cédric Gouth, maire de la ville depuis 2017. « Pourquoi ? Parce qu’il était limitrophe à deux quartiers : Saint-Eloy et Boileau. Avec Charcot, nous étions sur le point central entre ces deux pôles à l’urbanisme bien différent (immeubles de 8 étages face à un quartier de maison de 1 étage). Ce projet permet une transition architecturale et spatiale douce entre ces deux quartiers. Nous y avons également intégré l’arrivée du Mettis appelé à jouer un rôle prépondérant dans cette même centralité. » Pourtant, à l’origine, le secteur Charcot n’était pas identifié dans la rénovation urbaine. « Cela a été acté lors de la visite de Jean-Louis Borloo, alors ministre de la Ville qui choisit d’octroyer une enveloppe supplémentaire pour sa réalisation. » Le résultat : un Pôle composé de logements (58 collectifs et 12 pavillons), d’une place centrale, d’espaces de stationnement et de transports en commun identifiés mais aussi un lieu de rencontres pourvu de diverses commodités. « C’est notamment, sur ce point, que nous avons travaillé avec la Sodevam », poursuit le maire.
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« La force de la Sodevam est de pouvoir fédérer l’intégralité des acteurs sous un seul et même intérêt. »

Ainsi, le travail qui a été mené a permis l’installation d’un pôle médical (kinésithérapeutes, médecins généralistes, infirmières, orthophoniste) et d’une pharmacie ainsi que l’implantation de diverses entités commerciales : bar, épicerie, tabac-presse, boucherie… Sans oublier la Poste qui a également été ajoutée au programme. « Outre le service de distribution et d’envoi de courrier qui est son rôle premier, la Poste est aussi l’un des premiers opérateurs bancaires. Un atout pour l’ensemble de nos habitants. » Autant de services qui ont pu voir le jour grâce à la collaboration efficace de la Sodevam. « En effet, pour une collectivité, il est plus simple de n’avoir qu’un seul interlocuteur. La force de la Sodevam est de pouvoir fédérer l’intégralité des acteurs (maitrise d’oeuvre, promoteurs, administrations, entreprises de construction, concessionnaires…) sous un seul et même intérêt. Ce qui a permis de faciliter les relations entre les uns et les autres. »

« Un projet de 2,8 ha qui a mobilisé 7,5 millions d’euros d’investissement »

Par ailleurs, à cette occasion, la Sodevam s’est occupée, pour le compte de la collectivité, de la gestion immobilière d’une partie des locaux permettant aux professionnels installés sur le site d’avoir l’opportunité de devenir propriétaires de leurs structures. « L’idée était d’offrir cette opportunité aux personnes qui ont fait le choix de venir s’implanter à Woippy. Toutefois, si le locataire n’était pas intéressé, la mairie se portait acquéreur des cellules pour une bonne gestion à long terme. La volonté n’était pas de contraindre les bailleurs sociaux à être propriétaires des cellules commerciales, d’où l’intervention de la mairie, pour conserver cette attractivité au sein d’une ville. Sur les pieds d’immeubles il est nécessaire d’avoir un regard bienveillant mais attentif, pour assurer une offre diversifiée. » Aujourd’hui, le projet arrive à son terme. Reste encore une parcelle qui va bientôt trouver une destination, toujours à dominante de service pour les habitants, après des mois d’incertitudes. « Avec la Sodevam, nous sommes en train de finaliser l’arrivée d’un locataire potentiel. » Ce qui mettra un point final à ce programme de 2,8 ha signé en 2007, mobilisant 7,5 millions d’euros d’investissement.